Compagnie 6je...

Oyez, oyez, Païens de tous bords,

la Pagan Porceau Party revient pour la deuxième édition 2012!

Venez festoyer autour du Grand Feu de la Saint Jean,

les 29, 30 juin et 1er juillet,

en Sologne à 1h30 de Paris!!

Au programme des festivités du week-end : Musique, Théâtre, Projections, Expos photos, Dj, Ateliers musique danse et maquillage, et autres surprises..

Fabriquons le feu, dansons, maquillons-nous, régalons-vous, tapons sur des percus, explosons de joie, courons dans la forêt, roulons-nous dans l'herbe, brûlons le pantin, sautons le feu, ouvrons les yeux et les oreilles.

Laissons-nous enivrer jusqu'au bout de la nuit, afin d'honorer cette grande célébration dans une ambiance conviviale et païenne à souhait!!

Camping, restauration et bar sur place.

PAF : 10 euros - Réservation indispensable.

N'oubliez pas vos tentes.

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Le film "Casting"

6je et Barmasscourt présentent le dernier film de Bartolo FILIPPONE

assistant réalisateur Massimo PIBIRI

scripte Brigitte LOUIS

image Christophe SERRARE

ingénieur du son Kevin SIMON

perchman Sébastien DUPRAY

maquillage Pedro FIGUEROA

maquillage FX Gena IONETA

régie Julie CLEMENT

avec

directrice de casting Géraldine AZOUELOS

les candidats Antoine ZUGMEYER, Misha CAPNIST, Sébastien BRULE, Thibault SEGOUIN, Thierry SAUZE, Vincent MARIE, Nicolas BRESTEAU, Matias MENDES, Andrea REDAVID, Matthieu GAIN, Fayssal BERNABIA, Geoffroy KRYCH, Antoine DEROUDILHE, David SAUTEL, Christophe DENIS, Christian BOUAZZA, Etienne ALSAMIA, Sam HILALI, Damien DUTRAIT, Lucile MARQUIS

le jury Jean-Pierre MAZARDO, Eric VEIGA, Bruno RODET

montage Bartolo FILIPPONE, Elodie DERLYN

mixage audio Nicolas MONBAILLY

étalonnage- trucages Alexandre LIEBERT

remerciements
Mission Paris Cinéma

La Maison des Associations du Xème

La Maison du Film Court

Emmanuelle BLANQUART

Direction d’acteurs
Aline STEINER

avec
Clémentine AZNAR Adèle
Lydie DE CAPRIO Julie
Matthieu DESSAGNE Samuel
Bartolo FILIPPONE Nino
Matthieu GAIN Théodore
Julia OCARD Ornelia

chorégraphie
Marie OCARD

création lumière
Stéphane Charles

Retrouvailles, rêveries, histoires d’amour…

résumé

Au retour d'un long voyage, Julie doit faire face à une réalité qu'elle avait brusquement quittée : Samuel.
Ce dernier, frustré par cette rupture inattendue et inacceptable mais décidé à faire valoir ses sentiments, doit parallèlement affronter sa récente relation avec Adèle ; amoureuse et obnubilée par ce retour qu'elle sait si compromettant pour son couple.
Ornélia et Nino, vivent, quant à eux, une relation passionnelle que l'incapacité à communiquer rend déchirante.
Théodore, ami et confident de Julie vient compléter ses retrouvailles.
Dés lors, le banquet peut commencer pour laisser place aux rêves et à l'inconscient.

Les personnages se retrouvent peu à peu confrontés à leur complexité inconsciente, mais à leur réveil seront-ils capables d'accepter ses révélations qui pourraient modifier le cours de leurs existences ?

les mots peuvent mentir, pas les corps

note d’intention

Pourquoi vouloir toujours formuler un discours alors qu’un regard, un sourire en dirait davantage.

A partir d'un travail corporel, il nous est apparu nécessaire de faire prendre conscience de l'importance du corps et de ses significations, souvent plus instinctives et profondes, que la formalisation d'un discours peut l'être.

Bien que l'on ait tendance à oublier la valeur de nos gestes au détriment d'un système construit sur l'image et la parole, il ne s'agit pas, pour nous, ici, de donner des réponses-clés, mais plutôt d'envisager un monde ou l'intuition, les désirs profonds et les sens seraient mis en évidence comme une forme d'universalité.

Mise en scène Bartolo FILIPPONE
Avec Clémentine AZNAR
Christian BOUAZZA
Benjamin NISSEN

Résumé

Une élève se présente à une leçon particulière chez son professeur.
Son peu de notions en mathématiques ne lui suffisent pas à combler les énormes lacunes en « philologie linguistique » et en langues. Agacé, le professeur finit par tuer la jeune fille dans un moment d'emportement.
La bonne, sans trop se décomposer, fait le ménage et prépare l’accueil du nouvel élève qui déjà sonne à la porte...

L'auteur

Eugène Ionesco est né le 26 Novembre 1909 à Slatina, en Roumanie. Il passe son enfance en France, d’abord à Paris puis dans la Mayenne.
En 1922, il rentre à Bucarest où il quitte le foyer familial à cause de conflits récurrents avec son père. Il entame sa formation littéraire artistique, influencé par le dadaïsme et l’avant-gardisme ; il se marie avec Rodica Burileaunu et doit faire face à la mort de sa mère.
En 1942-43, lors de la deuxième guerre mondiale, il retourne en France, d’abord à Marseille, zone libre, puis à Paris où il passe le reste de sa vie et meurt le 28 Mars 1994.
Sa carrière en tant qu’auteur théâtral décolle en 1950, quand Nicolas Bataille met en scène La Cantatrice chauve au Théâtre des Noctambules. Dés lors ses pièces sont mises en scène et traduites partout dans le monde.

Notes

Dès que j’ai lu Ionesco, j’ai tout de suite retrouvé dans son univers ma façon de voir le monde, de me moquer de tous et de tout, de ne jamais rien prendre au sérieux ; cette façon de noyer dans l’absurde une profonde critique de la société contemporaine.
Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes perdus dans une société où l’on nous inculque des fausses valeurs, où l’on nous pousse à revendiquer notre appartenance à un groupe plus que notre singularité.
Tel un petit professeur docile et inoffensif, le système éducatif entier nous entraîne, jeunes élèves disciplinés, dans une leçon qui paraît nous éclairer, mais qui en réalité ne veut que nous soumettre, nous dresser, pour mieux nous contrôler.
Dans La leçon, j’élargis cette situation à la condition humaine en général, à la lutte ancestrale de l’homme pour dominer l’autre.
L’absurde et le comique me permettent une grande liberté de mise en scène : une scénographie minimaliste et un minimum d’accessoires me donnent les moyens de stimuler l’imaginaire et d’ouvrir les portes sur un monde fantastique, où l’on reconnaît les éléments de notre quotidien le plus angoissant.
Cette leçon particulière se déroule ainsi tel un jeu d’enfant. Le scénario terminé, la bonne vient ranger la chambre pour un nouveau jeu.

Spectacle mis en scène par Bartolo FILIPPONE

Résumé
En février 1905, à Moscou, un groupe de terroristes, appartenant au parti socialiste révolutionnaire, organisait un attentat à la bombe contre le grand duc Serge, oncle du tsar. Cet attentat et les circonstances singulières qui l'ont précédé et suivi font le sujet des Justes.

Notes
Les justes ?

Je me révolte, donc nous sommes.

Qui sont les justes ?
Les justes sont des paumés, des être perdus dans l'amalgame absurde de la vie et qui combattent le despotisme, mais surtout leurs propres démons.

L'absurde naît de la confrontation de l'appel humain
avec le silence déraisonnable du monde.

Quand j’ai lu ce texte, j’ai trouvé ces personnages extraordinairement touchants dans leur lutte maladroite, inquiétants dans leurs gestes inappropriés, angoissants dans leur fureur de vivre. J’ai voulu m’intéresser davantage à leurs origines, à leurs destins, pour mieux imaginer leurs personnalités et pouvoir tisser ainsi des relations plus profondes entre eux. Les personnages acquièrent ainsi une certaine épaisseur et racontent leurs histoires par la simple présence scénique.
Evénement central de l'intrigue, l’amour, inévitablement voué à l’échec, des plus fragiles d'entre eux : Dora et Kaliayev.

La fin justifie les moyens ? Cela est possible. Mais qui justifie la fin ?

Thème omniprésent dans l’intrigue : le droit de tuer, ou comment l’homme au nom de la justice, s’accommode du crime. Son seul moyen est la Foi, vraie ou fausse quelle qu'elle soit. Grâce à cette foi dans « l’idée », cette foi en « Dieu », le crime devient un acte de justice suprême, la cruauté est pardonnée puisque pleinement justifiée. Mais ce stratagème reste peu convaincant et laisse le doute hanter nos protagonistes ; ainsi le spectateur comme l’acteur est toujours enclin à douter de cette légitimité éphémère.

Ce qui m'intéresse, c'est d'être un homme.

La conscience d’une mort pouvant frapper à tout instant oblige un retour aux racines de l’être humain, à son essence, sa « viscéralité ». Elle permet d’appréhender la vie de façon différente, plus intense et primitive.
Je ne veux pas faire des " justes" une pièce seulement politique, mais aussi, à travers son dénouement, rappeler que ces terroristes, ces révoltés, sont avant tout des êtres vivants et que leurs actes sont avant tout des gestes humains. C’est pourquoi je vais mêler sur scène chair et sang, amour et haine, sexualité et spiritualité.

Le refuge

Le quartier général est le lieu où l'action se prépare, où les plans sont étudiés; mais c’est aussi le lieu où ces gens vivent, mangent, dorment, aiment leurs semblables.

Comment aimer quand même les sentiments sont contraints à la clandestinité ?
Se priver de l’amour et de tout sentiment, telle est la condition pour servir l’idée et vaincre la tyrannie. Mais cela est-il possible ?

Jour après jour ces hommes payent le tribut à cette règle.
Leur équilibre en vacille irréversiblement.

La rue

Le lieu de l’action, mais aussi celui de la formation.

Dans la pénombre il est difficile de distinguer les bons des méchants et il est difficile d’identifier son camp.
Ainsi nos personnages, avalés par l’obscurité, perdent tout repère et agissent dans l’insécurité et l’angoisse.

Dans la rue il n’y a plus de groupe, il n’y a que des individus, il n’y a que des solitudes.

Clémentine AZNAR

Clémentine Aznar fait ses débuts dans le théâtre en 1996 dans la compagnie des Petites Dionysies avec des textes de Durringer, Honoré et Kundera. Plus tard, parallèlement à son double cursus universitaire (espagnol/médiation culturelle), elle suit une formation à Grenade (Andalousie), où elle joue en espagnol la pièce Rhinocéros de Ionesco. De retour à Paris, elle intègre l’école d’acteurs Ange Magnétic Théâtre dirigée par Antoine Campo où ils mettront en scène les textes de Racine (Phèdre/Andromaque), Shakespeare (Le songe), Ionesco (La cantatrice chauve), Garcia Lorca (Bernarda Alba), Genet (Le Balcon), Koltès (Dans la solitude des champs de coton), Bergman (Cris et chuchotements) et Zulawski (L’important c’est d’aimer). C’est dans cette effervescence artistique qu’elle rencontre les futurs membres de sa troupe, la compagnie 6je. Ils créeront ensemble les spectacles Une nuit je te dirais (création théâtre et danse), La Leçon de Ionesco et Les Justes de Camus, mis en scène par Bartolo Filippone et présentés à Paris et en Province. En 2010, elle joue dans la comédie Racine par la racine au festival off d’Avignon avec la compagnie La Caravane rouge. Elle travaille aujourd’hui avec la metteur en scène russe Louda Puzyrevskaya sur une création biographique autour de l’auteur Ivan Bounine. Clémentine a également une formation en musique (piano et chant) et en danse (tango, jazz) qu’elle met souvent à profit dans ses créations (théâtre dansé, comédie musicale, choeur).

Christian BOUAZZA

Diplôme des Arts Décoratifs de Strasbourg, il se forme à l’art de l’acteur dans la compagnie AngeMagneticThéâtre, dirigé par Antoine Campo. Il suit également une formation de danse contemporaine auprès d’Ingrid Keusemann et de Pascal Fleury avec qui il participe à de nombreux spectacles à la « Maison du théâtre et de la danse » d’Epinay. De nombreux stages de jeu perfectionnent sa pratique avec Georges Bigot et Niels Arestrup notamment. Il a joué au théâtre le rôle de Garcin dans Huis Clos de Jean Paul Sartre, Mesa dans Partage de midi de Paul Claudel, Oronte dans Le misanthrope de Molière, Madame dans Les bonnes de Jean Genet qu’il joue à Avignon puis en tournée. Après sa rencontre avec la Cie les 6je, il joue dans la leçon de Ionesco et les justes de Camus mis en scène par Bartolo Filippone et présentés à Paris et en Province. A partir de 2003, il anime des ateliers-théâtre auprès d’adolescents et adultes. Actuellement Christian s’investit dans la diffusion culturelle d’arts multimédia au Centre socioculturel Madeleine Reberioux de Créteil.

Aurore BROUTIN

Après avoir reçu sa maîtrise d'Arts du Spectacle, elle part à la découverte de la formation de l'acteur en Italie pendant plusieurs mois et rejoint Ange Magnétic Théâtre en 2004. Elle y travaille le jeu cinématographique et théâtral avec Antoine Campo et Licinio Da Silva. Entre Tchekhov, Koltès, Shakespeare et Bergman, Aurore multiplie les rôles et les expériences professionnelles avec notamment Antoine Campo qu'elle assiste sur son opéra « L'enfant aux cheveux bleus », en représentation en 2007.

Attirée très tôt par les arts de la scène, Lydie commence son apprentissage par la danse. Elle rentre au Conservatoire National de Strasbourg à 9 ans où on lui inculque la rigueur et la discipline propres au ballet classique. A la suite de quatre années d'études, elle quitte cette institution et revient à la danse modern jazz avec laquelle elle avait débuté. Elle intègre aussi une troupe de hip hop puis elle rejoint la capitale pour appréhender l'art dramatique. Elle suit alors les cours de l'Atelier International de Théâtre qui s'inspire des méthodes Stanislavski et Felfenkreis, de l'act world wild de Meisner et d'Ange Magnétic (classique, cinéma, voix). Dans cette école elle rencontre 5 partenaires et ils fondent la compagnie 6je... Ils écrivent alors une création Une nuit je te dirais mêlant le jeu et la danse contemporaine qu'ils joueront plusieurs mois à Paris et en province. Elle joue au cinéma dans les courts-métrages : La note d'humanité de Martin razy, Everybody needs somebody de Christophe Averlan, Poupées russes d'Alexandre Francisco et La Passerelle de Franck Chekroun. Elle participe aussi en tant que danseuse à l'opéra punk de Emir Kusturica, Le temps des gitans et Faust de Charles Gounod.
Sa rencontre avec Luis Jaime Cortez et le théâtre du Hibou lors d'un stage de formation continu de commedia dell'arte est pour elle une révélation. Avec le masque, elle découvre la possibilité de réunir travail corporel et jeu. Elle part en résidence à Caen pour monter une chorégraphie avec des adultes handicapés mentaux avec Coralie Benchereau-Corrédor, qui a notamment travaillé avec Philippe Découflé, pour un spectalce en octobre 2009 autour du handicap sur la scène de la Mutualité.

Matthieu DESSAGNE

En juin 2002, à l'occasion d'une des représentations de la troupe Mica, il rencontre Ahowa Lion, qui lui fera confiance l'année suivante, pour le rôle de l'Enfant dans « La Savetière Prodigieuse » et du Fiancé dans «Les Noces de Sang » de Garcia Lorca. Cette expérience modifiera dès lors son parcours. Après quelques rencontres estivales au festival Off d'Avignon 2004, il décide d'intégrer en octobre l'école Ange Magnétic Théâtre dirigé par Antoine Campo. Sous sa direction il revêtira les rôles; du dealer dans « La solitude des champs de coton » de Koltès; d'Oreste dans « Andromaque », d’Hyppolite dans « Phèdre » de Racine; de Roger dans « Le balcon » de Genet, ou encore de Mr Smith dans « la Cantarice Chauve ». En juin 2006, il interprète le Père Amalio dans « Le destin étrange du colonel Von Kanz » mis en scène par Albert Saxer. Dans le cadre de ses différentes expériences il deviendra l'un des fondateurs de la compagnie 6je avec qui il crée le spectacle Une nuit je te dirais… En 2008 il devient assistant à la mise en scène de Maxence Mailfort pour le spectacle Histoires d’Homme. Il poursuivra sa collaboration avec lui lors de la reprise du spectacle et ensuite la création de Electra’s Delivery en Avignon 2010. Parallèlement au théâtre, il travaille régulièrement dans le cinéma et la télévision en tant que régisseur.

BARTOLO FILIPPONE

Italien de naissance, Bartolo Filippone bénéficie d'une formation artistique française et des influences culturelles de son pays d'origine. Sa formation se déroule à Paris entre 2000 et 2006; elle démarre au Studio Alain de Bock, continue à l'atelier de Didier Bétourné et se termine dans un cycle de trois ans à Angemagnetic Théâtre, sous la direction d’Antoine Campo. Pendant cette période, il a l'occasion de jouer dans différentes salles parisiennes dans une comédie moderne et lors de la création de spectacles pour enfants. À l’issue de sa formation, il s'investit dans la fondation de la compagnie 6je, association loi 1901, avec laquelle il participe à la création d'un spectacle qui mélange textes et chorégraphies : Une nuit je te dirais… Le spectacle se joue au théâtre Clavel à Paris et à l'espace Franklin à Angoulême. Attiré par la mise en scène, il monte La leçon de Eugène Ionesco, puis Les justes de Albert Camus au théâtre Darius Milhaud. Parallèlement à son travail de mise en scène, Bartolo ne cesse pas de jouer aussi bien au théâtre (théâtre Ménilmontant, Pixel, Darius Milhaud) qu’au cinéma dans plusieurs courts-métrages. En 2008, il décroche le premier rôle dans Ecce, long-métrage de Lionel Fouquet, qui nécessite un investissement physique important pour l'interprétation. Le film n'est pas encore distribué. La même année Bartolo écrit et réalise son premier court-métrage de fiction, Reflets-xion. En 2010, il écrit et réalise Casting. Actuellement, Bartolo continue son chemin artistique entre théâtre, cinéma et écriture.

Matthieu GAIN

Après des années de pratique du piano, Matthieu Gain a reçu une formation musicale au Berklee College of Music, à Boston, où il se spécialise dans l’écriture et la composition de musiques de film. Pendant trois ans, il y étudie le piano, l’harmonie, les arrangements, l’orchestration, la composition et la synchronisation à l’image des musiques de films. Après l’obtention de son diplôme en 1997, il rentre en France et forge son expérience en collaborant à de nombreux projets de courts-métrages. En 2004, “Le Rêve d’une Jeune Fille” reçoit, au concours de l’URCVIF, le prix de la meilleure bande son (uniquement musicale) et “Imminence” reçoit le Prix Spécial du Jury au Festival National du Court Métrage Étudiant. Aujourd’hui fort d’une expérience de plus de dix ans, Matthieu Gain compose, arrange, orchestre et produit des musiques pour la télévision (téléfims, séries, documentaires, publicité...) ainsi que pour le cinéma français et international (longs-métrages, courts-métrages, documentaires...).

Loic MASSICOT

Né sous les tropiques, Loïc Massicot débute au Conservatoire d’Art Dramatique de Rennes, sous la direction de Guy Parigot. Il étudie aux Beaux-Arts et à l’Université d’Arts Plastiques. Il réalise des émissions de radio. Expérimentant de nouvelles techniques théâtrales sous la direction de Magali Cotta, Elsa Imbert, Antoine Campo et Bernadette Le Saché, il interprète les personnages de Strindberg, Bergman, Büchner, Marivaux, Beckett. Il tourne avec la nouvelle génération cinématographique : Kevin Housepian, Pierre-Emmanuel Sauvaget, Yoni Kakon. Formé au théâtre gestuel par les élèves de Marcel Marceau, il se forme au chant lyrique avec Maurice Maïefsky et Yseult Welsch. Il est guitariste auteur-compositeur-interprète.

Benjamin s’installe à Paris en 2003, il se forme au jeu d’acteur sous la direction d’Antoine Campo pendant trois années. En juillet 2006, il intègre la compagnie 6je… avec laquelle il crée La Leçon d’Eugène Ionesco, et son rôle du professeur. Cette première aventure conduit Benjamin aux côtés de Jacqueline Staup, qu’il accompagnera sur les planches du théâtre de la Huchette, pour une pièce de Bernard da Costa, mise en scène par Valérie Jeannet. En parallèle de ses projets scéniques, Benjamin fait ses armes devant la caméra. Il participe ainsi à des courts-métrages dont le dernier est réalisé par Vincent Harter (1er assistant de Jean Pierre Mocky). En Juillet 2007, il part au Sénégal pour le rôle principal de A la rencontre des talibés, un documentaire fiction dirigé par Nicolas Gans. En Février 2008, il est invité par Francis Huster, sur le tournage de Un homme et son chien. Il y joue sa première scène de cinéma, aux côtés de Jean Paul Belmondo et Daniel Prévost.

Julia OCARD

Julia suit plusieurs formations : sous la direction de Luc Faugère à Bordeaux, sous la direction de la Cie Alzhar,à la friche Belle de mai de Marseille et à l’école AngeMagneticThéâtre à Paris, dirigé par Antoine campo . Elle rencontre les personnes avec qui elle fondera la Cie 6je et elle créera le spectacle Une nuit ,je te dirais… Elle co-fonde la Cie LTF à Marseille et joue dans L’Oubli , création mise en scène par Marine Vassort et dans une adaptation de Inventaires de P.Minyana. Parallèlement, elle joue également pour la télévision,dans divers telefilms et pour le cinema dans plusieurs courts-métrages : L’emploi vide de Antares Bassis diffusé sur canal+, Reflets-xion de Bartolo Filippone, Babylone de Antoine Chazaud… Elle participe au Festival d’Avignon 2010 au théâtre de la Luna dans Elektra’s Deliveree mise en scène par Maxence Mailfort. Julia a aussi une formation de danse JazzContemporain et Salsa. Elle anime aujourd’hui des cours de théâtre pour enfants et adultes en Charente-Maritime au sein de l’association la Loba lieu d’échange et de création qu’elle a fondée avec sa mère chorégraphe. Elle met son énergie dans le développement de ce lieu et la mise en place de la résidence artistique.

Anatole THIBAULT

Après des études d’art dramatique (cour Florent, coté cour) et un bref passage par la Commedia Dell’arte, il participe à quelques spectacles. Il se tourne alors vers la télévision qui lui offre quelques petits rôles dans diverses séries ( Léa Parker, Navarro, Joséphine ange gardien) et téléfilms ( la taupe, pierre 41.) Le doublage l’attire également, il prête ainsi sa voix sur de nombreuses séries et films ( les experts, photo obscession, rap game…) En 2008, il fait la rencontre de Bartolo Filippone et de la cie 6je

Thibaut WACKSMANN

Après avoir obtenu une licence de Lettres puis une licence d’Arts du spectacle à l’issue de laquelle il réalise le court-métrage Nemo, Thibaut WACKSMANN entame une formation de comédien à partir de 2005,au sein du cours de Julie GOUDARD. En juin 2006, dans le cadre de « l’atelier Tchekhov », il tient le rôle de Lopakhine, dans La Cerisaie, au Théâtre de la Fenêtre. L’année 2006-2007 est, quant à elle, essentiellement consacrée à l’étude de Shakespeare et aboutit à la création, au Théâtre du Lucernaire, d’un spectacle où il interprète Macbeth.

Marie OCARD

Marie, danseuse, professeur de danse jazz, chorégraphe et anatomiste a développé une carrière internationale en France, en Espagne, à Cuba et en Italie. Danseuse dans la compagnie de Christine Grimaldi et Alvin Macduffie, elle crée ensuite sa propre compagnie M.P.O. en France ainsi que la compagnie Carpediem en Espagne. Professeur au conservatoire d’Angoulème pendant 10 ans, elle est ensuite invitée à donner de multiples stages internationaux de danses jazz et contemporaine. Elle obtient un diplôme à la faculté de médecine espagnole en anatomie et biomécanique appliqué à la danse. Marie est sollicitée en tant que chorégraphe dans de diverses compagnies pour la création de spectacles comme « Voyages », dernièrement réalisé pour la compagnie d’Estrella Garcia, notamment à l’affiche aux côtés de Ramón Oller au festival de danse de Gigón en octobre 2005.

Aline STEINER

D’origine suisse, elle part suivre sa formation théâtrale à Besançon, Paris et New York. Dès 1994, elle réalise diverses mises en scène et dramaturgies de textes contemporains (M. Azama, W. Schwab, K. Valentin, M. Ghelderode, P. Dupoyet, etc.) en Suisse, France et Espagne. Elle est également assistante de Daniel Wolf à Genève, Joel Angelino à Madrid et Philippe Sireuil à Bruxelles. Elle conçoit la dramaturgie de spectacles chorégraphiques, notamment pour A. Christen et T. de Paola. Comme comédienne, elle a joué sous la direction de J. Angelino, Y.-L. Schwob, G. Steiner, J.-G. Chobaz, A. Steiger, etc. Durant la saison 1999-2000, elle collabore au projet L’Auberge de l’Europe, Centre Culturel de Rencontres à Ferney-Voltaire (France) sous la direction d’Hervé Loichemol. En 2006, elle crée Parti chercher, un texte de Luc Tartar coproduit par la « Coordination théâtre Jura-Suisse » et le théâtre d’Arras. Elle vit à Paris depuis 2003.

Compagnie 6je...

PPP 2012 - 2ème édition

Porceau Pagan Festival

Un reportage visuel et sonore disponible...!

P.P.P

Le film "Casting"

La Leçon

Reflets-xions

Les Justes

Week end Non-Stop au Carrosse

Une nuit je te dirais...

Projections

Reflets-xions

Projections

Les 6je...

Fondateurs de la Compagnie

"Une Nuit je te dirais"

"La Leçon" d'Eugène Ionesco

"Non Stop au Carosse"

"Mal de bêtes"

"Les Justes" d'Albert Camus

"Réflets-xions"

Comédiens